Bonjour à tous.
En ce qui me concerne, je m'appelle Elsa, j'ai 15 ans, malheureusement handicapée, mais ça c'est pas très grâve, et je suis une très grande fan de la comédie musicale Le Roi Soleil, notamment de ma très chère Victoria qui me fait vibrer ! Je suis également inacalable sur l'époque de Louis XIV qui me passionne, tout en étant une habituée des forum RPG qui sont mon occupation favorite ! Ce forum a donc tout pour me plaire ! Merci !
En ce qui est de mon personnage, Isabelle de Ludres, voici sa biographie, disponible sur Wikipédia :
Chanoinesse de l’abbaye de Poussay, elle y fut élevée. En 1662, elle fut fiancée à Charles IV, duc de Lorraine. Excommunié pour adultère, il avait décidé, une fois veuf, d’épouser sa maîtresse. Mais lorsqu’il vint à Poussay et qu’il vit Isabelle, réputée d’une grande beauté, il décida d’en faire sa femme. Il se ravisa un an après ses fiançailles, pour épouser sa maîtresse, qui mourut peu après. Charles IV voulut alors épouser Marie-Louise d'Apremont. Isabelle s’y opposa, et eut l’appui du clergé lorrain. Le duc la menaça d’engager des poursuites pour le crime de «lèse-majesté» qu’elle avait selon lui commis. En 1666, elle quitta son abbaye pour la cour de France. Dame d’honneur de Henriette d'Angleterre à son arrivée, elle passa ensuite au service de la reine (1670), puis de Madame Palatine (1673). La beauté, mais aussi le zézaiement et le fort accent lorrain d’Isabelle de Ludres attirèrent les courtisans. Elle leur aurait résisté, jusqu’à ce que, suite à une disgrâce passagère de Madame de Montespan, à Pâques 1675, Louis XIV s’intéresse à elle. Leur liaison fut assez discrète, mais pas suffisamment pour ne pas éveiller la jalousie de Madame de Montespan. Cette dernière fit courir le bruit que «la belle de Ludres» avait le corps recouvert de dartres, ainsi que «la gale, la lèpre, et toutes les maladies imaginables ». Le roi ne crut pas la rumeur et garde Isabelle auprès de lui. Il fut cependant contraint de se séparer d’elle, ou de faire mine, lors du retour d’Athénaïs. Volontiers moqueuse, elle s’évertua à la critiquer devant le roi, notamment en la traitant de «haillon», mais ne put empêcher Louis XIV de la fréquenter lorsqu’elle fut enceinte de son sixième bâtard et dut quitter la cour au printemps 1676. Pendant que le roi était en campagne contre les Espagnols, Isabelle ébruita sa liaison avec lui, disant même qu’elle était enceinte de ses œuvres. Le chroniqueur Primi Visconti raconte que les dames disposant du privilège envié du tabouret chez la reine se levaient à l’arrivée d’Isabelle de Ludres. Elle se vantait d’avoir « débusqué » Madame de Montespan et se voyait déjà nouvelle favorite attitrée. Elle eut même l’audace d’écrire en personne au roi, qui était encore aux armées. Leur relation devant demeurer secrète, Louis XIV s’en irrita. Il ne la chassa pas de la cour, mais rompit tout commerce avec elle. Au retour du roi, puis de la marquise de Montespan, Isabelle dut subir à nouveau les sarcasmes de cette dernière, mais publiquement. Un jour que la cour entendait la messe, le roi salua Isabelle de Ludres. Athénaïs fit alors irruption et leur adressa des reproches devant toute l’assemblée. Au début de 1678, Isabelle quitta le service de Madame Palatine et se retira au couvent de la Visitation de Sainte-Marie, après avoir refusé un don d’argent que lui proposait le roi. Le départ de la chanoinesse laissa ce dernier indifférent. Elle vécut plusieurs années dans des cloîtres parisiens. Endettée, Isabelle fut contrainte de réclamer une pension au roi, qui la lui accorda. Elle regagna ensuite sa Lorraine natale. «La belle de Ludres», comme la nommaient autrefois les courtisans, fut créée marquise en 1720. Elle mourut à Nancy le 28 janvier 1726.
Voilà, vous savez tout ...